Grand avantage du théâtre d’improvisation : pas besoin de souffleur. D’ailleurs, ne dit-on pas : souffler n’est pas jouer ? Autrefois, on parlait d’impromptu. Un certain Alfred de Musset le définissait ainsi :
« D'un sourire, d'un mot, d'un soupir, d'un regard
Faire un travail exquis, plein de crainte et de charme ».

Aujourd’hui, pour un bon match, il suffit de garçons et de filles à la répartie facile, d’arbitres incorruptibles, d’un public subtil et ardent (votre portrait tout craché !) qui désignera le vainqueur. Ambiance québécoise garantie – équipement de hockey compris – puisque le jeu a été inventé là-bas, où il fait souvent si froid. Heureusement, l’impro n’a pas son pareil pour vous réchauffer le cœur…

Compagnie : Ligue d'Improvisation de Seine-et-Marne